Accord

Lors de son apprentissage, un pianiste apprend le solfège, les notes de la gamme et les accords de base. En ce sens, le musicien devra également savoir lire les partitions ainsi que travailler le rythme. En musique il existe notamment deux grandes catégories d’accords, dont les accords majeurs et ceux mineurs. Ces derniers évoquent des sentiments de tristesse et de mélancolie, tandis que les majeures sont associées à la joie et à la gaieté. En effet, le contraste entre les tonalités est bien distinct !

Notez que l’accord parfait est composé de trois notes, à savoir une tonique (le premier degré d’une tonalité), une tierce mineure (qui va déterminer si l’accord est majeur ou mineur) et une quinte juste (la note qui se trouve sept demi-tons au-dessus de la fondamentale). Concrètement, il s’agit d’un enchaînement de chaque note (sons) jouée simultanément sur le clavier d’un piano.

Sur l’instrument de musique, la construction d’un accord est avant tout une question de respect d’intervalles, comme pour les gammes. D’ailleurs, l’intervalle est dit « harmonique ou mélodique » quand les deux notes sont jouées en même temps. Pour enrichir ses morceaux, le pianiste peut notamment apprendre les modes harmoniques tels que celui dit « lydien », issu de la gamme majeure. La sonorité de cette échelle diatonique s’avère très aérienne, mystérieuse et progressive ! Cette gamme utilise sept notes (do, ré, mi, fa, sol, la, si) naturelles de la musique, la huitième étant la répétition de la première à l’octave supérieure (le do).

À la différence de la diatonique, la gamme chromatique est composée de douze degrés, séparés les uns des autres par un demi-ton. Les altérations (bémol, bécarre, dièse, double dièse, double bémol), qui sont des symboles musicaux, servent à baisser ou augmenter le son des notes d’un ou plusieurs demi-tons.

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