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Triton

Le piano provient d’un petit instrument à clavier du XIVe siècle appelé « clavicorde », lui-même a été inspiré de l’orgue. Cet instrument est principalement associé à la musique classique avec Mozart, Chopin, Beethoven et Vivaldi. Dans une musique de chambre, il se combine avec d’autres instruments à cordes en quatuor, dont le violon, l’alto et le violoncelle.

Au fils des années, l’instrumental du piano n’a cessé de se moderniser avec différents styles de musique, tels que jazz, blues, rock, funk ou musique électronique. Pour cela, la note devient plus compliquée. Il existe un intervalle (une distance qui sépare deux notes) assez difficile à réaliser qui s’appelle « triton ».

Les musiciens des orchestres suivent des partitions, dans lesquelles les notes sont écrites. Cette partition affiche parfois un intervalle qui peut être plus ou moins grand, mesuré avec précision grâce aux tons et aux demi-tons. Le triton correspond à une distance entre deux notes exprimées en tons et en demi-tons, donc trois tons. Il est naturellement présent dans un accord majeur ou mineur.

Le triton est souvent considéré comme l’intervalle du diable. Lorsqu’il est joué dans un auditorium, il engendre une sonorité difficile, et ce, dès le prélude. Lors de la période romantique du XIXe siècle, les compositeurs n’ont pas hésité à utiliser cet intervalle pour exprimer leur couleur ou leur frustration. Berlioz l’a employé par exemple dans sa pièce La Damnation de Faust, Liszt dans son œuvre Après une Lecture de Dante, et Tartini dans sa célèbre « Sonate des trilles du diable ».

Le pianiste, le violoniste et tous les autres solistes qui souhaitent improviser peuvent appliquer le triton et réaliser de magnifiques mélodies. Pour un musicien débutant, mieux vaut l’apprendre dans un conservatoire. Si l’intervalle du diable est largement évité avant XIXe siècle pour sa complexité, il est accueilli à bras ouverts dans la musique moderne et dans un orchestre symphonique ou un orchestre philharmonique.

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